Généalogie d'un breton

Comment j'ai débuté ma généalogie

Au commencement, il y a eu une lettre écrite à ma grand-mère maternelle par son frère, datée de 1933. Il y relate la "Tradition", c'est-à-dire la généalogie familiale, telle qu'elle a été transmise, en allant jusqu'aux personnes actuelles.

Cette lettre a été oubliée, puis s'est retrouvée chez mes parents, au décès de ma grand-mère en 1975.

Elle a à nouveau été oubliée pendant 10 ans. 

En 1985, elle est ressortie de l'oubli, et j'en ai pris connaissance. Ma décision a alors été immédiate de reprendre ce travail interrompu depuis 52 ans, et cela fait maintenant 34 ans que je continue à compléter cette "Tradition", avec un souci de la partager à ma famille, conscient que cela ne m'appartient pas, mais qu'elle fait partie de notre patrimoine commun.

La lettre est accessible en cliquant sur l'image ci-dessous.

 

J'ai considéré a priori que tout était juste et cela a constitué mon point de départ. Mais, les années passant, je me suis rendu compte, au fur et à mesure que j'avançais, que ce n'est pas le cas. Par exemple, les BALLOT ne sont pas originaires de Landévennec, mais de Trun, dans l'Orne. La fille BRAOUEZEC a-t-elle vraiment existé ? Tout indique le contraire...

Il reste aussi quelques mystères qui restent à élucider. J'ai trouvé en décembre 2018 le lien avec la famille ROBILLARD évoquée en page 11. Mais qui sont les TRAON COURSIN ?

Un dernier point concerne Jean Laurent GOURVES, évoqué en page 8. Je ne trouve aucune trace de son passage en prison, ni de son assassinat.

Du côté paternel, je suis parti de la généalogie établie par un grand oncle, qui remontait peu dans le temps, mais qui était exhaustif sur les générations actuelles. De plus, j'ai eu la chance de pouvoir en parler avec mes grands-parents qui sont décédés plusieurs années après.


Mis à jour le 24 janvier 2019